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Poèsie: Vous souvenez-vous?
Sur un morceau composé par
Peder B. Helland
Vous souvenez-vous Monsieur
Du jour ou nous nous sommes vus
Pour la première fois ?
Le soleil était au rendez-vous
Et baignait de sa douce chaleur
Les arbres et les fleurs ?
Votre regard insistant,
Me fit baisser les yeux
Et rosir mes joues
Je finissais ma balade
Troublée et intriguée
Vous souvenez-vous Monsieur
Que dès le lendemain
Vous m’accostâtes sur le même chemin
De votre voix charmeuse
Vous me demandâtes de faire
Quelques pas en ma compagnie .
Rougissante, mais ravie de ne plus être seule,
Je vous accordais cette faveur
Pendant un long moment
Nous marchâmes côte à côte
Mais au détour d’un chemin
Une racine faillit me faire tomber.
Vous souvenez- vous Monsieur
Que vous décidâtes à ce moment là
De me prendre par le bras.
Afin que je ne chute point.
Nous finîmes bras dessus bras dessous
Notre balade en croisant de belles courtisanes
Qui sous des ombrelles de satin et de dentelle
Protégeaient leurs fins minois
Des rayons ardents du soleil.
Tout en parlant de livres et de frou- frou
Elles jetaient des coups d’œil furtifs
Vers le milieu du lac où des cygnes
Se prouvaient avec bruit leur amour.
Vous souvenez- vous Monsieur
Que quelques minutes
Avant que je ne vous quittes
Au milieu des arbres et des fleurs
Ce que par surprise vous me fîtes ?
Non ? Oh ! Monsieur
Ne vous souvenez- vous pas que vos bras
entourèrent prestement ma taille
Et que vos lèvres sensuelles se posèrent
Tendrement à la base de mon cou ?
J’en ressenti leur douceur exquise
Pendant des jours....
Tags : souvenez, bras, monsieur, cote, moment
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Commentaires
C'est sous ces sublimes mots que je te dépose ce commentaire.
Je suis ravi que tu aies aimé découvrir Metz.
J'ai lu avec beaucoup de plaisir ce que tu m'as écrit .
J'ai aimé ta liste de ce que tu avez pu découvrir.
J'ai ri en lisant que mes photos pouvaient t'avoir rendu familier ces découvertes.
Très bonne soirée, @micalement Marc de Metz.
Il y a des vins produits autour de Metz que je préfère au Gris de Toul.
Lui est trop sec pour moi qui ne suis pas grand amateur...Ha ! Vous
Mille pensées traversent mon esprit
Que mon vieux cœur s’en étonne
Tellement de vous je suis épris
Mon âme de bonheur résonne
Il n’est point d’instant où votre sourire
De mes regards ne s’efface
Vous êtes un doux parfum que je respire
De vous il m’imprègne et ne saurait être fugace
J’imprime vos mots sur mon cœur
Dans le silence d’un après-midi calme
Que seul votre rire viens troubler en ces heures
Mais je ne vous en veux pas belle dame
Laissez le courir et s’imprimer sur les murs
Qu’il en change la couleur !
Votre palette n’en manque pas, j’en suis sûr
Alors donnez-nous ce bonheur.
Roland
J'aime énormément ton poème... Si j'étais lui, je me souviendrais de ces instants que tu dépeins merveilleusement.
Bisous et douce journée.
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Bonsoir Célie
En lisant ton poème, je me dis que les jeunes de maintenant ne doivent pas employer les mêmes mots ou même expression des sentiments. Mais je n'en sais fichtrement rien en fait!
Belle soirée Célie, bisous