• Ce soir et une fois encore

    je viens de me  promener   sur  le blog  de ce compositeur, interprète  qui est

    DILUNK

    J'aime y aller pour rêver,  et les paroles de ses créations  révèlent 

    la  grandeur de son âme ,sa profonde sensibilité

    Je me suis arrêtée sur celle ci que j'ai écouté  plusieurs fois

     Sur le sentier du temps

    puis instinctivement  je lui ai répondu 

    ceci en commentaire et je vous le fais partager.

     

     

    Sur le sentier du temps....

    C'était    une jeune femme  d' Antan

    Mais qui vivait dans un autre   Temps

    On ne pouvait pas dire

    Qu'elle était vraiment jolie

     Mais  elle était habitée

    Par cette  beauté qui vient de   l'intérieur

    Personnellement  la plus belle ,

    Celle du cœur 

    De  tout son être  il se dégageait

     Un je ne sais quoi, qui faisait

    Que  les hommes, les femmes -sans exception-

    Qui la côtoyaient, sur son passage,

    Irrésistiblement se retournaient .

     

    Elle rayonnait   de bonheur, de gaîté,

     Et tous en silence .... l'enviaient

    Son visage souriant  était auréolé

     D'une douce  lumière dorée.

     Est- ce   sa coiffure ondulée

     Qui produisait cet effet?

    Est- ce  ses grands  yeux bleus malicieux

    Qui  droit les vôtres, vous regardez, sans ciller

    Est- ce   ses lèvres bien dessinées, à peine teintées,

    qui les les rendaient    pulpeuses à souhaits,

    et qui donnaient l' envie de recevoir

     Ou de voler un doux  baiser,

    Est- ce  ses longues  mains douces

    qui  donnaient l' envie d'être caresser,

     Est-ce -  sa taille parfaite ,

     ses cheville fines, à peine dévoilées ,

    Qui aux hommes donnaient de drôles d'idées?

    Est ce enfin  cette fragrance d' Hespéridées

    Qui  l'enveloppait lorsqu'elle marchait

     Et qui parfois la devançait?

    Nul ne pouvait le dire,

    Tous  étaient irrésistiblement attirés

    Et  Intrigués par son étrange  personnalité

     

    Puis mystérieusement  elle disparut

    Bien des questions, on se posa.

    Bien des réponses  on imagina 

    Mais que l'on était loin de la vérité

     

    Quelques mois plus tard, on sut

    Qu'une implacable  maladie

     L'avait emportée au Paradis

    Discrète, elle n'en avait rien dit

     

    Un  jour    un membre de sa famille découvrit

    Dans le tiroir d'un vieux buffet

    Mélangé à des  journaux, des  papiers

    Un cliché jauni par le temps .

     Jeune, belle et  toute souriante

     Elle semblait .....Lui parler

    Lui dire, que bien qu'elle soit

     Dans l'immense  l'empyrée  

    De toute son âme, de tout son cœur,

     Elle L' aimait

     

     Celie

     

    Voici une autre de mes fractales pour accompagner ce texte.

     

     Partazge avec Dilunk (2)

     

     Pure fractale

     

     

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