Nature....
Dans un parc tout près d’ici
Sans avoir l’air
Il regarde passer les promeneurs….
Observe leurs actions, leurs manières
Et gare à celui qui commettra un impair.
Terrible pourra être sa colère
Sur cette terre
il est là depuis bien longtemps.
Et même Lorsqu’il était « enfant »
Le gave en cru est venu lui lécher les pieds
Mais n’a jamais pu le déraciné
Il en a connu des misères
Son corps mutilé à beaucoup souffert
Devant nos yeux émerveillés
Par tant de prestance,
Et son âge avancé
Il reste beau et fier
Dévoilant a ceux qui savent voir
Bien des secrets, comme sa tête entourée
D’une barbe bien dessinée
Un bien beau nez
Et des yeux en retraits aux aguets
Nature que tu est belle
Nous devons quoiqu’il en coûte
Te chérir et te protéger
Celiandra